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Formation des ingénieurs et employabilité maximum pour l’Esitc Caen

Une étude réalisée auprès de la promotion 2019 de l’ESITC Caen, parrainée par Eiffage Génie Civil, indique que 98 % des diplômés ont trouvé un emploi avant même la sortie de l’école.

L’Ecole supérieure des ingénieurs des travaux de la construction de Caen affiche un taux d’employabilité parmi les plus élevés des grandes écoles d’ingénieurs. Une réussite qui découle d’une formation centrée sur l’adaptation aux besoins spécifiques des entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics, mais aussi sur une politique de recrutement basée sur la pluralité des parcours et des profils.

L’ESITC Caen a intégré cette année le concours Avenir qui permet à plus de 9 000 candidats de Terminale et Bac+1 d’accéder aux écoles d’ingénieurs postbac via une procédure d’inscription unique sur la plateforme ParcourSup.

Elle forme depuis 1993 des ingénieurs spécialisés dans les métiers du BTP avec l’ambition de les préparer aux défis auxquels est confronté le secteur de la construction : innovation, maîtrise des risques et développement durable.

L’École Supérieure d’Ingénieurs des Travaux de la Construction de Caen accueille 630 élèves ingénieurs et prévoit de porter sa capacité d’accueil à 750 élèves à l’horizon 2022 afin de répondre aux besoins croissants d’ingénieurs qualifiés des entreprises du BTP – 5000 recrutements de conducteurs de travaux sont ainsi attendus en 2020.

Cette politique d’ingénieurs « prêts à travailler » se traduit par un accès à l’emploi privilégié, comme le confirme une nouvelle fois l’enquête « 1er emploi » menée auprès des diplômés de la promotion 2019.

93 % des élèves de l’Etsic Caen occupent un emploi

Ainsi, 93 % occupent un emploi, 3 % poursuivant leurs études et 2 % ayant choisi la voie de l’entrepreneuriat. Grâce aux liens étroits tissés avec les entreprises et les organisations professionnelles du secteur, 6 élèves sur 10 ont été embauchés dans la continuité de leur stage de fin d’études.

Ces emplois donnent lieu majoritairement à un CDI (84 %) et concernent des postes d’ingénieurs variés : management de travaux (67 %), ingénieurs BET/Prix/Méthode (14 %), ingénieurs projet/ensemblier 7%, chargé d’affaires 5%, immobilier, Bim…

Si les grands acteurs du secteur du BTP – VINCI Construction, Eiffage et Bouygues – accueillent plus d’un diplômé sur deux, le profil des ingénieurs de l’ESITC Caen est également très apprécié des PME et ETI innovantes à la recherche de cadres formés aux nouvelles technologies de construction et aux outils numériques. Les jeunes diplômés de l’ESITC Caen bénéficient de conditions d’embauche favorables, avec un salaire annuel brut avec primes s’élevant à 40 K€.

Une priorité : des élèves passionnés par le BTP et ses enjeux

L’attractivité des ingénieurs formés par l’ESITC Caen s’explique également par la volonté de promouvoir la mixité sociale. Une priorité qui s’est imposée dès la création de l’école en 1993 et qui se traduit par un recrutement de candidats aux profils variés.

On y trouve des bacheliers, élèves issus des écoles préparatoires ou des filières techniques. A noter une politique d’aide financière, 1 élève sur 3 percevant une aide financière sous la forme de bourses d’études accordées par l’État, les organismes professionnels et/ou l’école elle-même (l’ESITC Caen consacre chaque année 5% de son budget aux bourses).

Dans sa volonté de favoriser la mixité et la pluralité des parcours, l’Ecole s’attache à développer l’ouverture à l’apprentissage. Entré à l’ESITC Caen après le bac, Lou Frené a obtenu son diplôme le 11 janvier 2020 après deux ans d’alternance passés entre les cours à l’école et la formation en entreprise, chez Eiffage dont il est aujourd’hui salarié.

La féminisation du BTP est en marche

L’ESTIC Caen poursuit l’ambition d’atteindre à terme la parité hommes-femmes. Un véritable défi dans un métier d’ingénieur et un secteur longtemps exclusivement masculin. Le travail de fond entrepris en matière de communication et d’information auprès des lycéens a permis de porter la part d’ingénieures à 25 % des effectifs.

Une intégration réussie, à l’image d’Armelle Malou, qui a intégré l’école après une classe préparatoire pour trois années de formation intensive au métier d’ingénieur bâtiment construction. Sensibilisée aux enjeux environnementaux, Armelle s’est orientée vers la filiale du bois et travaille chez Eiffage construction bois, une nouvelle filiale dédiée à ces techniques de construction.

Des diplômés courtisés en France, mais aussi à l’international

Près de 15 % des ingénieurs de la promotion 2019 travaillent aujourd’hui à l’international puisque des stages et des semestres d’études sont proposés à l’étranger.

Fraîchement diplômée, option « Routes et Réseaux », Alexandra Dufour affiche ainsi un parcours international bien rempli, marqué par un semestre d’étude à l’école polytechnique de Catalogne à Barcelone, un stage de conduite de travaux en Suisse chez HTP SA et un projet de fin d’études réalisé également à Genève. Alexandra a également passé trois mois en Islande et en Suède dans le cadre du séjour à l’International.

Source : Apiedoeuvre.fr

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